samedi 24 avril 2010

La saucissonade fait son entrée...

...dans l'association Histoire de plomb.

Effectivement, ce vendredi soir, avant de sortir les figurines de leurs boîtes et de mettre les canons en batterie, les joueurs se sont échauffés en partageant une saucissonade. Ce moment de convivialité a permis à tout le monde, d'échanger sur différents sujets, pas forcément liés au jeu d'histoire et c'est très bien ainsi.
Au programme de ce prélude :

  • Saucisson de la région stéphanoise
  • Pâté en croute à la pistache
  • Chorizo piquant au paprika
  • Chips rustiques
  • Vin de Brouilly
  • Vouvray du Val de Loire
  • et un peu de Salvetat pour notre ami Pierre
En quelques mots, je dirais que ce saucisson de la Loire, par sa rusticité, s'associe à merveille au Brouilly fruité, issu du Gamay noir du Beaujolais et servi à température ambiante. J'ajouterais même que le mariage de ces deux saveurs (accompagnées d'un bon pain de campagne) est parvenu à délier les langues de nos convives et à créer une ambiance chaleureuse propice à la mise en confiance des troupes sur le champ de bataille. Et il en fallait à mes cuirassiers de la confiance, pour aller au devant des régiments écossais, retranchés derrière les haies de ce terrain vallonné de Belgique...

Une fois cette première dégustation achevée, je me suis laissé tenter par quelques morceaux de pâté en croute à la pistache, qui, accompagnés d'une coupe de Vouvray de tourraine (malheureusement pas assez frais), issu du Pineau de Loire, m'ont définitivement convaincu de mener une action offensive (au cours de la partie Empire jouée avec la règle Tactique menée par Claude - compte rendu à suivre) avec mon armée française contre les positions anglaises de Christophe.

Quelques chips rustiques nous ont ensuite permis de prendre la route vers "les sentiers de la gloire" à la sauce napoléonienne (je vous promets d'ailleurs, dans quelques temps, une sympathique démonstration WWI dans l'esprit du film de Stanley Kubrick).

Et pendant tout ce temps, Pierre a pratiquement vidé la bouteille de Salvetat...

Christophe, tu peux revenir quand tu veux, mais çà, tu le sais bien !

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